A l’occasion des Jeux Olympiques, découvrez comment nos collaborateurs chez TRICOFLEX intègrent le sport dans leur vie professionnelle. Dans ces entretiens, Anaïs, Gaël, Christophe et Mégan partagent leurs expériences inspirantes, et la façon dont leur passion pour le sport influence positivement leur vie professionnelle.
ANAIS WILLAIME – Technicienne HSE, pratique le squash depuis deux ans et demi
Peux-tu nous parler de ton parcours sportif ?
Je pratique le squash, un sport de raquette en un contre un (l’un à côté de l’autre), depuis deux ans et demi, à raison d’une à deux fois par semaine, en loisir. J’ai également pratiqué la course à pied pendant huit ans ; aussi bien la course sur route que le trail. De plus, j’ai pratiqué l’équitation pendant vingt ans.
Quels sont les avantages que tu retires de la pratique régulière de ton sport en termes de bien-être physique et mental ?
Pour moi, le bien-être physique est essentiellement lié à mon entretien personnel et au maintien de ma forme. Cependant, ce qui est primordial, c’est mon bien-être mental. En effet, les sports que je pratique m’ont toujours permis de relâcher la pression et de retrouver un état d’apaisement. Avec le travail, les tensions et les petites frustrations s’accumulent, et le sport m’aide à les évacuer, me permettant ainsi de repartir sur des bases saines.
Comment parviens-tu à intégrer ta passion pour le sport dans ta vie quotidienne et professionnelle ?
Chez TRICOFLEX, les horaires flexibles sont un atout majeur qui facilite l’intégration du sport dans mon emploi du temps. De plus, j’habite à proximité de la salle de sport, et la durée des séances (45 minutes) est également très pratique. Si nécessaire, je m’entraîne aussi le week-end pour maintenir ma routine sportive.
En quoi cette passion influence-t-elle ton approche de la résolution des problèmes et de la prise de décision dans ta vie professionnelle ?
Le sport m’apporte une grande confiance en moi. Lorsqu’on commence une nouvelle discipline, on se retrouve souvent en position de faiblesse, mais réussir à accomplir quelque chose qu’on ne pensait pas possible, procure une immense satisfaction et renforce la confiance en soi. Cela démontre qu’on se sous-estime souvent et qu’on est capable de plus. Cette confiance et cette assurance se traduisent également dans ma vie professionnelle : j’aborde la résolution des problèmes et la prise de décision avec la certitude que je suis capable de relever les défis.
GAEL DENNEVAULT – Chef de Projet, pratique le hockey sur glace depuis 7 ans, en tant que gardien de but
En quoi ta pratique sportive influence-t-elle ton approche de la collaboration et du travail d’équipe au sein de TRICOFLEX ?
Mon expérience en tant que gardien de but, un poste qui exige une concentration constante et une grande rigueur, se reflète dans mon rôle de Chef de Projet chez TRICOFLEX. En effet, il est crucial d’encadrer et de protéger son projet, tout en s’appuyant sur l’équipe, qu’il s’agisse de la production ou du développement, pour assurer une bonne circulation de l’information. Cette discipline et cette vigilance, développées au hockey, sont des compétences que j’applique quotidiennement dans la collaboration et le travail d’équipe.
As-tu découvert des valeurs ou des leçons de vie importantes à travers ton engagement dans le sport ?
Le sport m’a enseigné des valeurs essentielles telles que le travail d’équipe, le soutien mutuel et l’unité ; elles sont pour moi fondamentales. De plus, la satisfaction de pouvoir arrêter le tir d’un adversaire est extrêmement gratifiante et renforce considérablement la confiance en soi. Ces leçons de vie ont un impact sur ma manière d’aborder les défis et les relations, tant dans le domaine personnel que professionnel.
Comment restes-tu motivé et enthousiaste dans ta pratique sportive, surtout lors des périodes difficiles ?
Être enthousiaste est une véritable philosophie pour moi, c’est dans ma nature et je suis toujours ainsi : je pars du principe que la vie est courte et qu’il faut en profiter pleinement. Bien que les entraînements de hockey aient lieu tard le soir et que cela puisse être compliqué avec les horaires de travail, la fatigue qui en résulte est satisfaisante. Fournir un effort physique me fait du bien et je n’ai donc jamais ressenti de baisse de motivation liée à mon travail ou à ma vie personnelle.
CHISTOPHE ZELLER – Infographiste, pratique l’aïkido, la planche à voile et apprécie se dépasser lors des triathlons
Peux-tu nous parler de ton parcours sportif ?
J’ai débuté l’aïkido à l’adolescence et je le pratique depuis une vingtaine d’années. En parallèle, je pratique d’autres sports comme la planche à voile, mais également la course à pied, le vélo et la nage.
En quoi ta passion pour le sport a-t-elle enrichi tes relations avec tes collègues ou tes proches ?
J’ai participé à la préparation du triathlon du Der avec quelques collègues. J’ai grandement apprécié l’atmosphère et la dynamique de groupe lors de nos séances d’entraînement, ainsi que la collaboration avec notre coach. Cette expérience a transformé ma pratique sportive : je prends désormais un réel plaisir à être entouré et j’ai du mal à m’entraîner en solitaire. Nous sommes actuellement huit collègues engagés dans ce défi pour représenter TRICOFLEX, et je suis ravi qu’ils m’aient rejoint dans cette aventure.
Quels sont tes objectifs personnels dans ta pratique sportive et comment les atteins-tu ?
Je me suis souvent interrogé à ce sujet et j’ai réalisé que ce qui m’intéresse le plus, c’est l’aspect technique et artistique. Mon approche, que ce soit dans ma pratique sportive ou professionnelle, ne vise pas la performance à tout prix.
A mon poste, lorsque je crée une image, je suis, en effet, particulièrement attentif à la construction, aux détails et au mouvement. Mais dans ce contexte, la perfection se définit par ma capacité à répondre aux exigences du cahier des charges. Sur le plan sportif, j’ai comme objectif de progresser sur le long terme uniquement
Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui souhaite commencer à pratiquer un sport pour la première fois ?
Pour moi, le plus important est de privilégier le plaisir : choisir une activité qui nous passionne est plus durable que s’engager uniquement pour la victoire. Il est également essentiel d’être motivé et de ne pas se décourager face à des périodes de stagnation ; la confiance en soi est cruciale à ce stade car c’est là que se construit la progression future.
Mégan LORENZI – Opératrice de finition, pratique la musculation depuis 1 an et la course à pied depuis 3ans.
Peux-tu nous parler de ton parcours sportif ?
Je pratique la musculation à domicile depuis environ un an. Parallèlement, je m’adonne à la course à pied depuis trois ans. Par le passé, j’ai également pratiqué deux disciplines de combat, le judo et le Qwan Ki Do, durant plusieurs années.
Comment ta passion pour le sport influence-t-elle ta mentalité et ton approche face aux défis professionnels ?
Travailler en horaires décalés, tels que les 3×8, peut être parfois épuisant, et requiert une grande force mentale. Je pense que pratiquer une discipline sportive avec des objectifs précis, qui incite à se dépasser et à progresser m’aide énormément. J’adopte ainsi au travail un état d’esprit compétitif vis à vis de moi-même. Cela me donne la confiance nécessaire pour affronter et surmonter tous les défis professionnels.
Quel est le plus grand défi sportif que tu as relevé jusqu’à présent, et comment l’as-tu surmonté ?
J’ai participé à deux Coupes d’Europe dans la catégorie junior lorsque je pratiquais le Qwan Ki Do. En 2012, à Berlin, je me suis classée 5ème en combat par équipe et 3ème ex æquo en 2014, à Saint-Memmie, dans la même catégorie. Participer à ces compétitions a été une expérience impressionnante et extrêmement gratifiante pour moi, compte tenu des résultats obtenus.
Quel est ton rituel préféré avant une séance d’entraînement ou une compétition ?
Actuellement, je n’ai pas de rites particuliers. Lorsque je participais à des combats, je ne pouvais pas manger avant une compétition. Avant les échauffements, je faisais le vide dans mon esprit pour me concentrer uniquement sur le combat à venir ; mon objectif ultime était de gagner. Ainsi, même en cas de défaite, je pouvais être fière d’avoir donné le meilleur de moi-même.